Resident Evil : Revelations 2 - Un bon spin-off ? - Asgard.gg
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Resident Evil : Revelations 2 – Un bon spin-off ?

Salutations, amis tueurs de zombies. On continue dans la rubrique PS4 avec un jeu dont la licence vous dira tous quelque chose, Resident Evil : Revelations 2. Est-ce un Resident Evil comme on les aime ? La réponse tout de suite !


 

Resident Evil : Revelations 2, les origines

Une fois n’est pas coutume, parlons déjà de la série en général. Connu sous le nom de Biohazard au Japon, son pays d’origine et véritable pionnier de la Playstation 1, ce survival horror en aura fait suer plus d’un ! Je me rappelle encore regarder mon père y jouer alors que j’étais toute petite… Je pense d’ailleurs que c’est à cause de ce jeu que j’ai une peur bleue des zombies !

Logo de Umbrella CorporationSorti en 1996, développé et édité par les grands de Capcom, la licence s’est écoulée à ce jour à plus de 40 millions d’exemplaires sur toutes les consoles existantes ou presque. 10 jeux sont sortis, en tant que jeux de survival horror. Rappelons d’ailleurs que le premier opus de ce genre reste Alone in the Dark, sorti en 1992 dont on retrouve les mêmes moteurs graphiques ainsi que la même vue en plongée que dans le premier Resident Evil. Cependant, l’atmosphère y est totalement différente. Nous voilà dans ce jeu plongé dans un manoir rempli de zombies, où on cache des requins titanesques dans le sous-sol et des serpents aussi gros qu’un dragon dans le jardin. Quelques membres de S.T.A.R.S sont envoyés pour enquêter sur les événements étranges qui se passent dans cette habitation. Parmi eux, on retrouve le très célèbre Chris Redfield (qui réussit à prendre 10 kilos de muscles par épisode de jeu), notre Jill Valentine préférée et le méchant charismatique de la série, Albert Wesker. Et on se souviendra tous bien sûr de cette scène qui nous aura fait frissonner à souhait !

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Bref, nous ne sommes pas ici pour parler du premier opus, mais ce genre de souvenir est toujours bon à relire (question de nostalgie). Le deuxième opus verra l’apparition de Leon Scott Kennedy, autre personnage emblématique du jeu, et de Claire Redfield, petite sœur de Chris et l’un des principaux protagonistes de Resident Evil : Revelations 2. Cette fois, l’action se passe dans la tristement célèbre ville de Racoon City. On en apprend un peu plus sur le Virus-G et le Virus-T (rappelons que le premier vous transforme en monstre plus effrayant et que le deuxième vous zombifie) et sur la Umbrella Corporation, grande vilaine du jeu ! Dans le 3, nous retrouvons Jill Valentine, dans Racoon City, et les événements se passent d’ailleurs entre le premier et le deuxième opus. Je me permets de mettre ces Resident Evil ensemble car ils nous offrent un gameplay presque identique, avec la caméra qui reste focalisée sur un angle précis, un peu à la manière d’une caméra de surveillance d’ailleurs, ce qui permet des jumpscares assez épouvantables (comme l’attaque des chiens zombies qui traversent les fenêtres dans le premier). Le gameplay rappelle assez Silent Hill, autre pionnier du survival horror, notamment à cause des différents angles de la caméra. On pourrait appeler le style de jeu par « jeu de tir à la troisième personne » mais rappelons que dans ces Resident Evil, le but n’est pas de tuer le zombie (vu la lenteur des tirs de nos personnages) mais de les esquiver. Ce qui change radicalement dans les trois derniers.

Dans le 4 (qui est à mon goût le Resident Evil le plus connu et apprécié des joueurs, sûrement parce que ceux de mon époque avaient enfin l’âge d’y jouer sans craindre la crise d’angoisse), on retrouve Leon, 6 ans après les événements de Racoon City. Au revoir les zombies, bonjour les espagnols infectés (MATALO !) et les complots semi-religieux. Dans le 5, c’est Chris que nous retrouvons (sous stéroïdes ou pas…) en Afrique, accompagné d’une jolie petite demoiselle, Shyva. Exit les zombies, on retrouve toujours des humains simplement affectés. Il faudra attendre le 6 pour pouvoir contrôler Leon et Chris ainsi que retrouver nos zombies adorés ! D’ailleurs, le virus s’étend maintenant à échelle mondiale, ce qui offre au jeu un intérêt beaucoup plus important. 

Parlons maintenant du gameplay, qui change presque radicalement dans ces opus. Les décors ne sont plus figés mais modélisés en 3D. La caméra ne reste plus dans un angle fixe mais peut être considérée comme posée sur l’épaule du personnage (c’est comme ça qu’on appelle cet angle au cinéma, même si la caméra nous laisse voir le dos de notre héros du jeu ). Les tirs sont plus libres qu’avant et le tir ciblé fait son apparition, ainsi que les QTE. Un changement qui n’a pas eu l’air de déplaire aux fans, puisque le cinquième opus est le plus vendu à ce jour (le quatrième vient en troisième place et le sixième en quatrième).

Je ne parlerai pas des autres spin-off, ce résumé des jeux principaux est déjà bien assez long à mon goût ! Je vous laisserai les découvrir ou alors passer sur la page wiki du jeu (pour les bilingues, je vous laisse la page en anglais qui est beaucoup plus fournie d’après moi).

Angle de vue de Resident Evil 5

 

Resident Evil : Revelations 2, le jeu

Après ce grand rafraîchissement de mémoire, parlons maintenant du jeu en lui-même. Pour ce faire, nous allons procéder en deux parties : la fiche technique ainsi que le gameplay de Resident Evil : Revelations 2. Puis, je survolerai rapidement l’histoire, en parlant du premier opus des Resident Evil : Revelations !

Resident Evil : Revelations 2, sa fiche technique.

Sorti sous le nom de Biohazard : Revelations 2 au pays du Soleil Levant, il s’agit du tout premier opus épisodique de la saga Resident Evil. Publié en 2015 sur la Playstaion 3 et 4, la XBox 360 et One, sous Windows et sur la Playstation Vita, il contient 4 épisodes, sortis Claire Redfield dans Resident Evil : Revelations 2entre le 25 février 2015 et le 18 mars 2015. 2 jours plus tard, la saison complète sort enfin sous format « boîte ». Comme son titre l’indique, il s’agit du second volet de la courte saga Resident Evil : Revelations.

Parlons maintenant gameplay. Resident Evil : Revelations 2 suit de très près le mode de jeu des trois derniers RE. Les décors sont modélisés en 3D, on voit son personnage de dos et tout comme le 5 et le 6, nous pouvons contrôler deux paires de personnages. Dans chacune de ses paires, chaque héros aura ses rôles propres. Claire et Barry s’occuperont de shooter du zombie pas content (notons que Barry pourra aussi éclairer le chemin ) alors que Moira (la fille de Barry et l’autre membre de la paire « Redfield ») s’occupe de la lampe torche et d’ouvrir les coffres avec un pied de biche. Natalia Korda, autre personne formant le tandem avec Barry, peut détecter les zombies derrière les murs et se faufiler très facilement dans des bouches d’aération ou dans des endroits inaccessibles pour l’agent Barry Burton qui, rappelons-le, était présent lors des événements du manoir dans Resident Evil 1. Ce mode de tandem est accentué par le fait que vous pouvez jouer à deux à Resident Evil : Revelations 2. L’un contrôlera celui qui tue du zombie et l’autre devra éclairer son partenaire ou alors l’avertir des ennemis proches. Un système multijoueur exploité à partir de Resident Evil 5 ainsi que sur les épisodes des Resident Evil sortis sur la Wii. Dans le mode solo, vous pouvez bien sûr switcher entre les deux protagonistes du tandem, mais attention : Moira et Natalia sont beaucoup plus vulnérables que Barry et Claire. Heureusement pour vous, le deuxième membre du duo (à part dans le cas où vous serez séparés) ne sera jamais bien loin de vous. Ce switch est très important, car seuls ces deux jolis minois pourront effectuer certaines actions qui vous permettront non seulement d’avancer dans le jeu, mais de trouver certains objets spéciaux. Ajoutez à cela un  » Raid Mode  » pour les plus violents d’entre vous. Le but ? Tuer le plus de zombies possible !

Resident Evil Revelations 2 : Raid Mode

L’écran de jeu du  » Raid Mode « .

Nous retrouvons aussi ce que j’appelle « l’upgrade d’armes ». Mais contrairement à Resident Evil 5, ce mode ressemble plus à celui que l’on retrouve dans The Last of Us (ne vous en faîtes pas, un article sera bientôt écrit sur cette petite merveille !) : le joueur ramasse des petites mallettes pouvant contenir chaque caractéristique dont votre arme à besoin. Lorsque vous serez sur l’écran de votre arme, diverses petites cases apparaîtront. Dans cette dernière, vous pourrez y ajouter ce que vous avez ramassé afin de la faire évoluer (notons que, tout comme dans the Last of Us, vous allez devoir trouver une « table de craft » pour pouvoir améliorer vos armes).

Dans cet opus, vous avez aussi un arbre de compétences. Lorsque vous ramassez certains objets, vous pouvez collecter des « PB » qui vous permettront d’augmenter certaines capacités (réduction de temps d’utilisation pour les objets de soin, augmentation de dégâts des armes, plus de résistances aux dégâts etc…). Attention, certains bijoux (généralement, ce sont eux qui vous rapportent des PB) ne seront détectables que grâce à Moira ou Natalia !

En résumé, un Resident Evil qui suit le gameplay de ses prédécesseurs, ce qui est selon moi un très bon point à ce niveau là. En revanche, le fait qu’il ne soit pas une exclusivité sur les consoles de la dernière génération peut lui porter préjudice, mais nous en parlerons dans la dernière partie.

Personnages jouables dans Resident Evil : Revelations 2

Les deux paires de personnages jouables dans Resident Evil : Revelations 2 ( le tandem Natalia-Burton à gauche et Claire-Moira à droite).

Resident Evil : Revelations 2, de quoi ça parle.

Comme vous vous en doutez certainement, ce Resident Evil va parler de zombies, d’expériences ratées (ou pas) et de « shoot them in the head« . 

Les événements de Resident Evil : Revelations 2 se déroulent entre Resident Evil 5 et le 6. Nous retrouvons Claire Redfield assistant à une soirée organisée par une association humanitaire du nom de Terra Save. Tout se passe pour le mieux lorsque des hommes armés s’invitent personnellement à la petite fête et kidnappent l’intégralité des personnes présentes, dont Moira Burton, la fille de Barry Burton. Les deux jeunes femmes se retrouvent emprisonnées sur une île déserte (à l’intérieur de ce qui semble être un laboratoire) et font l’objet d’un projet expérimental. Toutes deux équipées (de force) d’un bracelet électronique, ce dernier détecte la peur des sujets de l’expérience : s’il est vert, tout va bien. S’il devient orange, le sujet commence à avoir de légères angoisses. Et s’il devient rouge, les injections faites sur le sujet le transforment.

 » Si le voyant est vert, le sujet est dans un état normal.

S’il est orange, il est sujet à des angoisses plus ou moins fortes.

S’il clignote en rouge, le sujet commence à avoir peur.

S’il est en rouge, le sujet entame sa mutation. Tirez-lui dessus. « 

Bref, les deux femmes vont devoir trouver des survivants (dont Pedro, qui vous fera certainement crier « AIDE MOI PEDRO ! » sous l’hilarité de la personne qui vous regarde) et surtout contrôler leur peur. Pas vraiment facile lorsque vous devez sortir d’une île infestée de zombies et d’autres créatures plus hideuses les unes que les autres.

Parallèlement à cela, Barry Burton, en tant que bon papa, s’inquiétant de la disparition de sa fille, décide tout simplement de partir à sa recherche. Il rencontrera alors Natalia Korda, petite fille aux pouvoirs de détection étranges mais bien efficaces, puisqu’elle arrive à détecter les zombies derrière les murs. 

Je ne vous en dis pas plus sur l’histoire, bien que la fin du premier épisode révèle une information que je trouve assez bien surprenante, ce qui, pour moi, est un très bon début pour le jeu.

Précisons un point. Même si Resident Evil : Revelations 2 s’inscrit dans la série des RE : Revelations, il n’est pas une suite directe du premier, qui se déroulait entre les événements du 4 et du 5. Les scénarios de cette série ne sont pas ceux des Resident Evil. Voilà pourquoi il ne s’agit tout simplement que de spin-off, bien que nous y retrouvons le bestiaire emblématique de la saga ainsi que certains personnages (Chris et Jill étant les personnages principaux du premier opus des Revelations).

Après vous avoir parlé plus en détail du gameplay et de l’histoire, voyons voir si Resident Evil : Revelations 2 peut être considéré comme un bon spin-off à la série des Resident Evil et pourquoi.

Porcs zombies dans Resident Evil : Revelations 2

Après les chiens zombies dans le premier Resident Evil, les porcs zombies s’incrustent dans Resident Evil : Revelations 2 !

Resident Evil : Revelations 2, des points positifs mais aussi négatifs.

Comme chaque jeu (ou presque), Resident Evil : Revelations 2 a son lot de points négatifs mais aussi positifs. Il n’y a pas grand chose à jeter dans ce spin-off, mais disons que certains détails pourraient lui faire défaut aux yeux de joueurs exigeants. Je me permets d’ajouter que ce genre de partie n’est fait que d’un point de vue subjectif et qu’il s’agit de mon avis de spectatrice mais aussi de joueuse. Voyons cela plus en détail !

Resident Evil : Revelations 2, ce qui marche

Et bien d’abord, le gameplay. Je dois bien avouer que mon premier Resident Evil, en tant que joueuse était le quatrième du nom sur la Nintendo Gamecube. Et je l’admets : la caméra qui suit le personnage me faisait nettement moins peur que les décors figés ! Je ne suis pas une grande fan des jeux de tir (bien que les RE s’inscrivent dans le survival horror, quand on a un pistolet et qu’on tire sur des gens ou sur des choses, ça devient un jeu de tir, même si ce n’est pas le mode principal !) mais l’ambiance des Resident Evil fait partie de mon univers de gameuse. Je crois même qu’il s’agit du premier jeu dont j’ai été la spectatrice, avec le premier opus de Half Life. Bref, ce n’est pas le sujet ! La maniabilité reste correcte et on ne s’affole pas à cause d’une caméra mal placée, bien que pour voir derrière soi, cela reste un petit peu compliqué. 

 

 

Comment parler d’un Resident Evil sans vous parler du bestiaire du jeu. Du zombie, vous allez en avoir et deux sortes différentes selon le tandem que vous contrôlez (un très bon point pour la joueuse que je suis). Puis bien sûr, vous allez devoir affronter quelques boss et mini boss tous plus gros et plus moches les uns que les autres. Bref, de ce côté là, Resident Evil : Revelations 2 a bien rempli sa part du contrat !

Le modo solo permet au duo d’être beaucoup mieux synchronisé. En effet, qui n’a jamais ragé sur le membre de votre tandem qui s’amusait à aller là où vous ne vouliez pas ou alors qui ne réagissait pas lorsque vous vous faisiez attaquer ? Là, c’est différent. Votre deuxième personnage reste toujours auprès de vous et son aide est beaucoup plus précieuse que ce que vous ne pouvez imaginer. Je vous laisse en juger par vous-même avec ce premier épisode d’un let’s play en français !

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Resident Evil : Revelations 2, ce qui marche moins bien

Je vais reprendre directement le dernier point de mes points positifs : le mode solo. Si celui-ci marche assez bien au niveau de la synchronisation du tandem, le mode multijoueur ne vous apportera rien de bien exaltant. Alors qu’un de vos amis pourra contrôler un personnage qui tue du zombie (ce qui, je vous le rappelle, est l’un des buts d’un Resident Evil), l’autre se contentera de jouer un personnage beaucoup plus faible, dont le seul but est de détecter des objets ou de se faufiler dans des petits trous. Un mode qui se révèle donc plus ennuyeux que fun… 

Resident Evil : Revelations 2 Natalia et Barry

Alors qu’un joueur va tataner du zombie, le deuxième ne sera qu’un simple spectateur.

Un autre détail qui a son importance pour une spectatrice comme moi : les graphismes. Le GROS désavantage d’un jeu qui doit sortir sur des consoles de deux générations différentes, c’est qu’on ne peut pas exploiter les gros avantages d’une Playstation 4 ou d’une XBox One (comparés à leurs prédécesseurs, je précise). Attention, je ne dis pas que le jeu est moche, loin de là. Juste que le fait de devoir sortir le jeu sur PS Vita a, selon moi, grandement freiné le rendu au niveau des personnages. Car oui, les décors sont beaux, mais les personnages … disons que ce n’est pas encore ça !

Graphismes dans Resident Evil : Revelations 2

Des personnages pas vraiment jolis, selon mon avis.

Le mode épisodique du jeu ne sert strictement à rien. Ce n’est peut être qu’une question de goût, mais cette manière de créer des jeux épisodiques peut certes marcher dans certains cas (comme dans The Walking Dead), mais dans un Resident Evil : worst idea EU, comme on dirait par chez moi. L’intérêt d’un Resident Evil reste avant tout son ambiance. Dans Resident Evil : Revelations 2, l’ambiance n’a rien à envier aux autres jeux, mais si vous avez acheté chaque épisode un par un, je trouve que cela provoque une certaine rupture chez le joueur. Dans un survival horror, on a besoin d’être immergé dans l’action, pas d’attendre une semaine pour continuer de jouer, malgré la durée de vie qui reste un point positif pour le jeu. Et en parlant de l’ambiance, bien qu’elle soit plutôt bonne dans l’ensemble, on ne retrouve rien de nouveau. Certains boss vous feront sourire quant à leur silhouette disgracieuse, mais il n’y a rien de bien effrayant dans ce Resident Evil. Pire encore, quelques moments vous paraîtront si clichés qu’ils vous feront soupirer et regarder en l’air. Le scénario reste donc un peu redondant, et je me demande si ce sentiment ne s’installe pas après avoir joué à The Evil Within, autre jeu de survival horror sorti un an avant ce Resident Evil.


En résumé, on peut dire que Resident Evil : Revelations 2 reste tout de même un spin-off globalement bon dans son ensemble, malgré une histoire redondante et remplie de clichés, ce qui peut se comprendre vu le nombre de jeux Resident Evil sortis à ce jour. Les graphismes ne sont pas vraiment optimisés, à mon goût, mais cela ne change pas vraiment grand chose lorsqu’on joue. Mis à part ces points négatifs, ce Resident Evil n’est pas un mauvais jeu pour autant. Une bonne durée de vie, un « Raid Mode », des systèmes de craft et un arbre de compétences font que ce spin-off reste tout de même à la hauteur d’une grande saga de survival horror !

Article écrit par Kaena le 01.10.2015

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